• Première maquette d'étude
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    • Première maquette d'étude
  • Etude espace central
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    • Etude espace central
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    • Etude espace central
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    • Etude espace central
  • Périmètre avant projet
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  • Plan masse _ Etude
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  • Plan masse _ Projet 1
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  • Plan masse _ Projet _ Ecole
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Texte

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Ecoquartier Mabotte

  • Programme
    urbanisation d’un terrain sur les hauteurs de la rive gauche de Seraing, création de 147 logements (52 maisons et 95 appartements), et de 5 classes d’une école fondamentales  comme charges d’urbanisme.
  • Situation
    terrain situé entre les rue Mabotte, rue Pansy et rue de Montegnée à 4101 Seraing (Jemeppe)
  • Maître de l’ouvrage
    Mabotte SA
  • Surface urbanisée
    4 hectares et demi
  • Montant des travaux
    non communiqué par le promoteur
  • Architecture 
    Atelier d’architecture a i u d
  • Première phase 
    10 appartements et 19 maisons
  • Timeline
    2016-2020
  • Urbanisme/ concept 
    Atelier d’architecture a i u d
  • Urbanisme/permis d’urbanisation 
    association AURAL-AIUD
  • Etudes et obtention du permis
    2010-2015 (études et obtention du permis)

Etalement périurbain présentant une relativement faible densité, constructions hétéroclites, absence de hiérarchie et d’ordre apparent dans l’urbanisation, voilà la trame du contexte du projet.

Ce projet d’urbanisation vise à donner une identité spécifique et aisément identifiable au nouveau quartier.

 

Une rue principale articulée au centre du terrain par un espace public crée une structure claire.

L’espace public central demeure horizontal le long de la voirie NS très pentue. Cela lui confère une présence très affirmée.

 

Parallèlement à ce principe les raccords de l’urbanisation nouvelle avec le bâti existant sont étudiés de manière contextuelle afin de recoudre le tissu urbain.

 

Deux voiries arborées permettent l’accès au quartier. Elles sont  d’une longueur suffisante pour que le nouveau quartier, de par son autonomie compositionnelle, puisse faire unité.

Le troisième accès rue du  Pansy se fait via une « porte », constituée de deux petits immeubles symétriques, qui crée la limite entre le nouveau quartier et l’existant.

Depuis la rue Mabotte la voie d’accès vers l’espace public principal du projet est créée  à l’endroit du monument à la première machine à vapeur du continent européen.  Monument revalorisé par une placette et un aménagement spécifique.

Enfin toutes les possibilités de liaisons piétonnes (sentiers, promenade) sont mises à profit pour innerver le nouveau quartier dans son environnement.

 

Les aménagements des zones de recul (clôtures, revêtements, plantations…) qui sont habituellement des lieux de discontinuité dans les lotissements sont ici intégrés dans la conception globale.

 

Une attention particulière est apportée tant aux qualités paysagères qu’aux usages et appropriations des lieux créés : l’espace public central, la placette du monument, les sentiers, une plaine de jeux.

 

Des échanges de terrains avec la commune ont permis d’obtenir une urbanisation plus cohérente et offre de l’espace pour l’extension d’une école communale située en bordure d’un sentier de liaison avec le quartier existant.

Pour cette extension les directions générées par la trame d’implantation de l’école existante ont été croisée avec celle du nouveau quartier afin d’articuler au mieux leur rencontre.

L’implantation en U crée la cour, la distribution se fait par un préau.

Le  préau qui distribue les classes parallèle au cheminement mode doux du quartier  se prolonge pour créer un espace d’entrée protégé de la pluie, à la fois signe et espace de socialisation.

Des vides sont créés dans cette barre afin de générer des relations visuelles avec le  cheminement.

 

Ambition environnementale :

Maisons construites en ossatures bois.

Les constructions projetées sont « basse énergie » : coefficient d’isolation k 30 ; l’objectif énergétique est une consommation de moins  25 kWh/m² par an. Les maisons individuelles s’orientent Nord/Sud et l’écartement des bâtiments tient compte des ombres portées sous le soleil d’hiver afin de profiter des gains solaires.

Chauffage et production d’ECS : réseau de chaleur avec chaudière à biomasse (pellets ou plaquettes de bois).

Récupération et potabilisation des eaux pluviales